Thomas GILLET

1. Bonjour Thomas, peux-tu te présenter rapidement ?

J’ai 19 ans. Actuellement étudiant en première année de STAPS et faisant parti de la promo potentiel JAF, j’officie pour le club du FC GATINAIS en Bourgogne. Je suis rentré dans la grande famille de l’arbitrage il y a de cela 1 an maintenant. J’ai obtenu le statut de JAL depuis cette saison.

2. Dans quelles conditions es-tu venu à l’arbitrage ?

N’allons pas nous mentir, je n’étais pas le meilleur joueur de foot de mon club… Un jour, lors d’un tournoi de fin de saison alors que j’étais sur le banc, je me suis dévoué en tant que bénévole à arbitrer un match au centre. En rentrant au vestiaire, j’ai reçu plusieurs encouragements afin de commencer une carrière dans ce domaine. J’ai donc de suite pris contact avec de nombreux arbitres pour suivre les démarches menant à cette fonction. A la suite du stage d’Autun dirigé par Clément Turpin, je suis devenu arbitre.

3. Peux-tu nous évoquer ta vie d’arbitre, ton ressenti, les moments agréables ou plus difficiles dans cette fonction ? Des évènements que tu as vécu ou des gens que tu as rencontrés ou côtoyés t’ont-ils marqué dans ta carrière arbitrale ?

De nombreuses personnes m’ont marqué tout au long des mes premiers mois d’arbitrage. Mes formateurs, mes observateurs. Chaque personne portant une démarche pédagogique visant mon amélioration et ma progression reste gravé dans ma mémoire. J’ai vécu en l’espace de ma, pour le moment, courte carrière d’excellents moments au sein de l’arbitrage. Le dernier en date fut ma participation pour la finale de coupe de France des grandes écoles en tant qu’arbitre central.

4. Enfin, tu es adhérent à l’Unaf, que cela représente-t-il pour toi ?

L’UNAF représente pour moi le soutien et surtout l’entraide amicale. Je me sens un peu plus rassuré en démarrant des matchs quand je sais que l’UNAF est derrière moi et sera toujours là pour nous les arbitres si nous rencontrons des mésaventures. Enfin, l’UNAF c’est surtout la convivialité tout au long de ses multiples rassemblements.

5. As-tu une dernière chose à nous dire ?

Je souhaite à l’arbitrage et à l’UNAF de continuer dans leur union car sans l’UNAF nous les arbitres nous perdrions une grande et belle structure.